A Journey In Consciousness

Tuesday, June 20, 2017

Lettre à un ami

Cher ami,

permettez-moi de partager avec vous quelques réflexions.

Quelle que soit notre situation, nous continuons d’apprendre, d’évoluer, de grandir. Ce processus est sans fin. Même si nous sommes en quête d’éveil, ce processus se poursuit. Et même si l’on vit l’expérience de Samâdhi, ou encore plus rare, cette même expérience en continu, l’apprentissage n’est pas terminé. L’univers nous lance des invitations, il nous présente des occasions d’apprendre.

Ainsi, nous restons humbles. Il demeure nécessaire de songer à notre conduite. Chaque atome de notre existence doit devenir conscient. Nous ne sommes jamais exempts de réfléchir, voire de corriger notre attitude. Même les plus grands maîtres observent leur vie en se demandant si certaines choses doivent être améliorées.

De nos jours, le bouddhisme est très populaire. Toutefois, le Bouddha n’aimait pas les femmes. Si vous observez de près les structures bouddhistes, cela apparaîtra clairement. 

J’aime à penser que l’éveil résulte d’une évolution. Les êtres éveillés s’inspirent de leurs prédécesseurs. Par conséquent, l’éveil lui aussi devient plus raffiné et plus intelligent. Il ne se répète pas simplement. Il évolue et grandit !

On a le choix de remonter dans le passé et de reproduire une spiritualité à l’ancienne qui s’est avérée limitée et archaïque. On a également le choix de déclencher une révolution aujourd’hui même en accueillant à bras ouverts la spiritualité de l’avenir, une spiritualité qui prend appui sur toute notre intelligence.

L’intelligence ne se borne pas au mental. Elle agit à de nombreux niveaux, dans de nombreuses dimensions. Il y a l’intelligence émotionnelle, psychologique et sexuelle. Il y a également l’intelligence artistique et psychique. Il existe de nombreuses manières de développer notre intelligence qui dépassent notre entendement. Le filmLucy, avec Scarlett Johansson et Morgan Freeman, explore cette thématique fascinante.

Quant à moi, je choisis une spiritualité permettant le développement de toute mon intelligence latente. Je ne saurais me satisfaire de moins. Tel est mon choix. 

Nous avons tous le choix. Nous pouvons devenir des bodhisattvas du XXIe siècle et créer un style qui nous est PERSONNEL, en nous appuyant sur l’intelligence la plus grande et la plus rayonnante qui soit. Nous pouvons courir le risque d’être nous-mêmes. Nous pouvons créer une nouvelle attitude sur cette planète, une nouvelle spiritualité. Ou alors, nous pouvons nous contenter de reproduire le passé. Toutes les religions et spiritualités du passé n’ont pas créé un monde meilleur ni plus paisible. C’est à nous qu’il revient de nous tourner vers une intelligence, une harmonie et une compassion plus grandes.

Il est temps d’adopter une nouvelle approche, de s’engager sur un nouveau chemin. Nous pouvons faire ce choix aujourd’hui. Maintenant.

What is Osho doing these days?

For those of you who don’t know me, let me introduce myself. In the early 70s I was struck by the lightning of soul inquiry that set free within myself an all-consuming longing to enter upon the journey that I hoped would lead me close to the Face of God, or at least into close proximity. I entered the stream of the ancient yogis and mystics.

I started a life of intense discipline and deep practices of meditation, which soon became the center of my life. In1975 I went to the Himalayas to practice even more and deeper. In 1976 I had a dream that catapulted me straight into the school of Osho, then called Bhagwan Shree Rajneesh. There, (Poona, India) I lived for 5 years until 1981.

During that time I meditated an average of 5 hours dailyand entered innumerable intensives and retreats, where working on oneself took place full-time, 10-12 hours a day. 

The result of this contact with a man whom I recognized as a living Buddha was a long string of explosions of consciousness, of Samadhi experiences, that changed me forever. There were many Darshans with Bhagwan that expanded my consciousness in ways hard to put into words. Darshan is a Sanskrit work that means, “being in the presence of the Divine." 

However, this term has various implications that need to be understood. The word has outer, inner and secret meaning. For example, one can be in the outer, physical presence of the Divine (such as being with a living Buddha) and feel nothing, because of lack of sensitivity and preparedness. We feel nothing and therefore miss completely one of the most amazing gifts theUniverse could present us.  

But if we are in the outer presence of a living Buddha AND also feel the Divine Presence due to our sensitivity, then we feel the Divine within us. Now we have INNER DARSHAN. A transmission is taking place. That’s what matters – the transmission. 

Once a relationship with a living Buddha has been established, these transmissions can continue beyond death.

A real Darshan is inner and secret and therefore can take place in utterly unusual circumstances. Real Darshan is the transmission of Samadhi through the grace of a master, someone whose consciousness is as far away from you as a satellite from earth (yet at the same time IS you), but who can beam a massive divine laser ray into you to explode your consciousness. Bhagwan has done exactly that in my life innumerable times.

Bhagwan Shree Rajneesh (Osho) died in 1990 and here is the fantastic news: He continues to beam his awareness-bestowing rays of light into those who have opened themselves and created receptivity by virtue of continuing to work upon themselves. He has not left the planet, merely his body.

In one of the transmissions I have experienced with him inrecent times I saw him stand before me. He sent tremendous beams of light into me that caused huge explosions of light and consciousness within my being. Indescribable. However, he was not alone. I saw two or three other beings next to him, assisting him in the process of transmission.

Long after his body is dead and gone --- he continues to shower, bless and be available to those who long to awaken.

It is as he said one day during a lecture: “No Buddha Ever Dies.” 

And that’s the great news for today.

Swami Anand Karunesh
Friday, May 08, 2009
Menton, France

Qu’est-ce que le Tantra ?

Posez cette question à différentes personnes et vous obtiendrez différentes réponses. Posez-moi cette question et je vous répondrai différemment selon le moment.

Le monde du Tantra peut être comparé à une très grande demeure contenant de nombreuses pièces. La plupart n’ont presque rien à voir avec la sexualité. En effet, souvent, on associe le terme « Tantra » à la sexualité, mais en réalité, cela va bien au-delà.

Le mot Tantra se compose de deux syllabes, tan et tra. La première signifie « expansion », la seconde « instrument ». Par conséquent, le Tantra est l’instrument de l’expansion de la conscience. Quand on part de cette définition, beaucoup de choses peuvent être incluses dans le Tantra. Fondamentalement, tout ce qui crée l’expansion de la conscience appartient au Tantra.

Voici une liste de mots qui, au fil des siècles, ont été utilisés pour décrire le Tantra : métier à tisser, essence, grande connaissance, porteur de libération, stratégie, doctrine, texte, ensemble de pratiques et de rituels, compréhension profonde, maîtrise, système de pensée et enseignements (potentiellement révélés par le Divin).
Tout cela appartient au Tantra, et plus encore.

Par le passé, il a existé de nombreuses approches de l’expansion de la conscience qui visaient fortement à refouler ou à nier les parties de notre nature humaine considérées comme des ennemies : par exemple, l’affluence matérielle, les émotions telles que la colère et surtout, notre sexualité. On a donc vu émerger une attitude répressive et hostile à l’égard de notre humanité et de ce point de vue, peut-être peut-on considérer que certains aspects du tantrisme sont des actes de rébellion à l’encontre de ces comportements oppressifs soi-disant spirituels.

Ainsi est apparue une nouvelle voie qui consistait à dire OUI à la vie. Par là, on déclarait vigoureusement que la sexualité et les émotions ne sont en rien anormales et même, que l’on pouvait s’en servir pour élever sa conscience.

Cette nouvelle voie tentait de constituer une fresque nouvelle nous permettant d’apprécier la beauté de la vie sans pour autant rejeter notre humanité. Cette nouvelle voie nous invite à prendre plaisir à manger, à aimer et à faire l’amour. Elle nous invite à aspirer à la fusion avec la Source de l’existence, tout en accueillant la vie à bras ouverts. Peut-être est-ce là l’origine de Mange, prie, aime.

Qu’est-ce que le Tantra ? C’est la fusion avec le Divin, sans nécessité aucune d’avoir un(e) partenaire. Les mystiques du passé qui était des amants de Dieu, Rumi, Sainte Thérèse d’Avila, Saint-François, Meera, étaient des Tantrikas. Ils aimaient Dieu. Ils appelaient Dieu. Ils traitaient le Divin comme leur Bien-aimé et le Divin leur rendait bien.

Qu’est-ce que le Tantra ? Le Tantra est la rencontre du yogi et de la yogini, qui ressentent en l’autre la même passion qui consiste à vouloir s’éveiller en conscience, à vouloir retourner dans la présence océanique du Divin. Mais plutôt que de suivre un chemin archaïque et répressif, ils se regardent avec amour et compassion et décident de mêler prière, méditation et amour en un seul et unique véhicule puissant capable de les unir l’un à l’autre et au Divin à une vitesse qui dépasse l’entendement. Ils s’accueillent l’un l’autre et accueillent la vie en un OUI universel. Dans cet instant de passion, ils disparaissent l’un dans l’autre. Ils disparaissent dans l’extase torride du retour dans le ciel infini de notre demeure divine.

Qu’est-ce que le Tantra ? Il s’agit de regarder dans les yeux de son/sa bien-aimé(e) tout en adressant une prière passionnée au Saint des Saints, à tous les Bouddhas, à tous les anges : « Ô s’il vous plaît, s’il vous plaît, éveillez mon bien-aimé, que les voiles de l’illusion disparaissent une fois pour toutes de son être. »

Le Tantra contemple tous les aspects de notre être sans rien rejeter, il est un expir passionné qui dit : « je suis ce que je suis ». Et tandis que nous vivons et célébrons ce lâcher-prise en notre être, comme par miracle, nous nous apercevons que nombre des limitations que nous avons créées disparaissent dans la magie de cette acceptation de soi.

Le Tantra est l’alchimie ultime qui ne transmute pas le plomb en or, mais transforme notre potentiel en une réalisation tangible de soi.

Le Tantra est ce qui transforme la semence en la fleur magnifique et pleinement épanouie de notre âme.

Le Tantra accueille ce monde dans une compassion passionnée. Le Tantra consiste à être très présent à la personne qui se présente à nous et à témoigner l’amour et la sagesse les plus profonds qui résident au cœur même de notre existence.

Le Tantra consiste à regarder l’autre et à se reconnaître en lui.

Le Tantra, c’est tout cela, et plus encore…

Monday, June 19, 2017

How I met Bhagwan Shree Rajneesh (Osho)

My spiritual journey started in 1972 when I began to practice Hatha, Japa and Kriya Yoga. In 1975 I wanted to deepen my practice, but importantly, I wanted to find a teacher who I felt was rooted in Samadhi, who lived it constantly. Therefore, I did what many seekers before me did: I packed my bags and went off to the Himalayas to look for that teacher.

Having arrived in Rishikesh in February 1975 was an astounding experiences and I soon spent time with yogis in ashrams and caves. Being in Rishikesh felt surprisingly like I had come home. The search however was not easy. There were enough sadhus who promised me the big Samadhi in six weeks and intuitively I turned them down. During six months of being there, my search had narrowed down and I found one disciple of Nityananda by the name of Charanananda and another man close to the Tibetan border, Paramananda Avdhoot. Both men turned me down when I asked them to be my teacher. Nevertheless, I was blessed with profound experiences in their presence. Of course, later on I understood why they turned me down.

During my stay in Rishikesh I began to hear stories about Bhagwan Shree Rajneesh (Osho). People told of encounters with him that catapulted them straight into most expanded states of consciousness. However, I did not respond to those stories. Later in New Delhi I went to famous bookstore Motilal Banarsidass and found a book by him. I read it, found it clearly brilliant, but also was not entirely impressed.

I returned to the West and deepened my personal practice adding Zen Seshins (retreats of 8 hours meditation practice per day) to my practices. I did everything possible to find avenues to take me to the center of my consciousness.

One night in February 1976 I went to bed after many hours of meditation. The body was quite tired.

As I slept I had a dream. I saw a man. He looked at me and said, "You have an appointment with me. You are getting late. Come." I rushed off immediately to meet the man at the proper place and found him again in a forest. He was in the middle of a clearing. However, he sat behind a mirror. He looked at me and pointed to the mirror and said: "This mirror is for you to see yourself. Do you not want that?" I nodded and said, "I want that very much."

Then I sat down in front of the mirror. However, the mirror was placed in an awkward position. I could not see anything. Then, the man behind the mirror started touching the mirror and shifted it into place. When he had shifted it into correct position for me to properly see myself, I looked into it and the moment I did, everything exploded.

An explosion of nuclear dimension ignited in my consciousness.  It was indescribable. The drop exploded and expanded. It was like a Big Bang. One moment everything was normal, the next moment this explosion turned everything into Infinity. There were no limits to consciousness and at the same time there were many different aspects to the Experience. There was luminosity and radiance. There was the unexplainable presence of Knowledge, as if everything was clear and understood, though without the sense of a specific understanding or focus. There was an enormous sense of power, a tremendous electricity that was all-consuming, like an infinite fire. Simultaneously, there was the complete absence of any sense of self.

The experience broke the sleep state. The body "woke up". However, the experience continued. My entire body was filled with this electricity, in my feet and hands, my stomach, my chest and my brain.

To say that this was shocking does not even get near to describing it. I looked over at the corner of my room. There was a book I bought in New Delhi. The backcover was placed to the front and there was a picture of the same man who I just met in dream and who was the cause of this nuclear explosion of my consciousness. It was Bhagwan Shree Rajneesh (Osho).

Now I was impressed. Six months later, in August 1976, I arrived in Poona, India. There I lived in the daily presence of the master for 5 years.

Faire son coming-out : vous êtes gay ? Non, spirituel ! La spiritualité en France

Il y a de cela un certain temps, j’ai travaillé avec une célèbre actrice française (seulement chez elle, pas de nom sur sa boîte aux lettres). Alors que mon livre allait être publié, je lui ai demandé d’en écrire la préface. Elle a refusé : si elle rédigeait la préface de mon livre, sa spiritualité deviendrait publique, ce qui serait très dommageable pour son compagnon, qui était lui aussi une personnalité connue du public. Elle n’a donc pas pu accéder à ma demande, car l’opinion publique était contre la spiritualité.

Au XVe siècle, il suffisait de dire d’une personne qu’elle était une sorcière. C’en était alors fini pour elle. Pas de procès en bonne et due forme. C’était la mort assurée. Dans la France d’aujourd’hui, cette habitude perdure, sous d’autres formes : « Vous faites partie d’une secte ! Vous êtes végétarien ! Vous méditez, vous faites du Chi Gong ! » Là encore, c’en est fini pour vous. Là encore, pas de procès en bonne et due forme. Aucun autre pays européen ne fonctionne ainsi, comme au XVe siècle.

Cela a provoqué certaines situations tout à fait incroyables, au sens où les activités spirituelles se déroulent à huis clos. Les riches, les célèbres et les puissants ont des contacts avec des enseignants ou guérisseurs spirituels, car ils savent à quel point cela peut leur être profitable. Par exemple, l’un des présidents français a appelé un guérisseur spirituel à sa rescousse. Mais cela a été tenu secret. Le public n’en a rien su, car le président ne voulait pas être considéré comme bizarre aux yeux du public.

Ce genre de situation ne pose aucun problème aux États-Unis ou dans la plupart des autres pays européens, mais ici, en France, la tradition archaïque de la chasse aux sorcières perdure obstinément.

Cela me rappelle le passé, quand les homosexuels se cachaient par peur de l’opinion publique. En France, les chercheurs spirituels sont les nouveaux homosexuels et tout se déroule loin des yeux du public, notamment pour les riches et célèbres, à moins d’être un Gérard Depardieu, un homme qui se moque éperdument du qu’en-dira-t-on.


Quand vous vous réveillez le matin et que vous vous regardez dans le miroir, ce n’est pas l’opinion publique que vous voyez. Vous vous regardez dans les yeux et c’est vous-même que vous voyez. Et peut-être aussi apercevez-vous M. Shakespeare qui, par-dessus votre épaule, vous dévisage et vous dit : « Sois fidèle à toi-même. »

The Dharma Journey

The spiritual journey is a battle between life and death. Death, in this context, is the daily, ongoing process of being lost in the illusions that the collective of dreaming souls produces. The material world, the matrix, appears solid and real and the non-material world appears non-existent.

Life is the awakening process of the soul as it takes tangible insight into the true nature of its existence and the true fabric of the Universe.

For the soul who has made the decision to awaken, a great existential conflict looms at the sentient core of its existence. This conflict at times becomes the raging battle between the forces of shadow and light that easily sets ablaze the stage upon which the sleeping part of the soul pursued a conventional life, thereby continuing its comatose way of being.

Therefore it must be said that the soul's decision for awakening must be rather a daily process of conscious decision and ongoing choice.  Oblivion and forgetfulness - getting lost in the appearances of things - is truly the great enemy of the soul's desire to fly into the sky of liberation. This forgetfulness challenges us daily.

There is within each of us the shadow part that does not want to awaken. Rather it wants to indulge in the play of appearances as a way of establishing externalized expressions that signal superior value to itself and others, thereby supporting the illusion of separation.

For the soul to step back and correctly perceive and witness the shadow's mechanisms is truly a great challenge. To remain a victim of the shadow's immense spectrum of subtle, illusion-based identifications is a high prossibility. As the soul advances, its illusions become much more subtle and harder to trace.

It is in view of that great difficulty that Buddhists activate the Three Gachchamis, wherein they take refuge and ask for help from  the Buddhas, the Sangha and the Dharma. Tibetans in fact have Five Gachchamis. They ask for additional help from the teacher and a protective deity.

To counter the daily subtle influences of our shadow, it is advisable to take refuge and ask for protection and help from the Forces of Light daily.

Letter to a friend

Dear Friend,
Kindly allow me to share some reflections.

No matter where we are at, we continue to learn, grow, and unfold. This process never stops. Even if we have entered the journey of awakening, this process continues. If there are events of samadhi, or even the very rare event of Sustained Samadhi, even then we continue learning. The Universe gives us invitations and opportunities to learn.

In this way we stay humble. The necessity to reflect upon how we conduct ourselves continues. Every atom of our existence must become conscious. We are never above the need for reflection and possible self-correction. Even the greatest Masters look at their lives and consider if there are better ways.

These days Buddhism is very popular.  However,  the Buddha also did not like women. If you look closely at the Buddhist structures, it shows.

I like to think that awakening takes place in a process of evolution. Awakened beings stand on each other’s shoulders.  Therefore, awakening too becomes more refined and intelligent. It does no just repeat or replicate. It grows and evolves!

We can go back into the past and copy old ways of spirituality that in fact have proven to be limited and outdated. Or we can start a revolution today and embrace the spirituality of the future, which is a spirituality that activates the totality of our intelligence.

Intelligence is not just intellectual. It takes place on many levels and dimensions. There is emotional, psychological and sexual intelligence. There is intelligence that is artistic and psychic. There are many ways of activating intelligence that we cannot even imagine right now. The movie “Lucy” with Scarlett Johanson and Morgan Freeman explores this fascinating topic.
My choice of spirituality involves the activation of the totality of our latent intelligence. I cannot be content with anything less. This is my choice.

It is all of our choice. We can become 21st century bodhisattvas and create OUR OWN STYLE along the lines of the greatest, luminous intelligence possible. We can take the chance of risking to be who we truly are.  We can create a new way of being on this planet and a new spirituality.  Or we can just repeat the past. All religions and spiritual avenues of the past have not made humanity any better or more peaceful. It is up to us to choose a greater intelligence, a greater harmony and a greater compassion.

It is time for a new approach and a new way. We can make that choice today. Now.

The First Cosmologists

The first cosmologists were yogis. It was through the power of deep meditation that they were capable of penetrating the mysteries of the Universe. Their discoveries were in fact much more acute and advanced than the discoveries of science. Science is lagging behind tremendously. There are centers in the head that are dormant for the normal person. Once they awaken, we see the truth of the Universe. This insight is nothing but shocking as it will totally annihilate all limited, illusion-based perceptions of sleeping humanity.

«Samâdhi» - l'Eveil au-delà de toute identification

De nos jours, beaucoup de choses sont écrites sur l’Eveil (en Sanskrit : Samâdhi) et souvent, je m’aperçois qu’on le décrit comme une expérience qui apporte une amélioration pour le chercheur spirituel une fois qu’il a atteint l’état de Samâdhi. Le chercheur devient spécial. Une version améliorée. Un modèle turbo.

Rien ne saurait être plus éloigné de la vérité. L’expérience de Samâdhi est inséparablement liée à l’annihilation du chercheur. La survenue de la Samâdhi équivaut à la cessation du chercheur. La Samâdhi est la suspension de la structure du soi mental.

Le mental existe en tant qu’entité qui a pour fonction sempiternelle de s’approprier, de s’identifier. Il le fait implacablement, sans cesse. Lorsque le mental dit : « J’ai faim », il s’identifie à une sensation dans l’estomac. Lorsqu’il dit : « Je suis en colère », il s’identifie à une émotion. Et la liste s’allonge sans cesse. A chaque fois que le mental exprime une notion d’identité, il perpétue un mensonge existentiel.

Chacun d’entre nous dans ce monde a déjà fait face à la notion de « Je suis riche et célèbre » et aux modalités subséquentes en terme d’arrogance et d’égocentrisme. Il est intéressant de noter que les mêmes dynamiques du mental sont directement transférées dans la dimension spirituelle. Le mental perpétue ses modalités usuelles sans même sourciller. Il suit son cours. Désormais, son identité a pris une nouvelle forme : « Je suis doué en méditation ».

Dès lors, on devient quelqu’un qui peut affirmer : « Je canalise Dieu, Mère Marie ou Saint Germain ». Notre nouvelle identité devient : « Je suis proche de Dieu » (et vous feriez mieux d’écouter ce que je vous dis). Lorsque de telles notions sont perpétuées, on continue bel et bien de nourrir son arrogance et son égocentrisme, mais sous un nouveau déguisement.

La toute première ligne des Yoga Sutras de Patanjali dit : « Yoga Chittam Vritti Nirodha ». Le yoga est atteint lorsque tout mouvement du mental a cessé. En d’autres termes, il est atteint lorsque la capacité du mental à s’approprier des identités cesse totalement.

La Samâdhi est l’expérience de l’ouverture de l’espace intérieur. Dans cette ouverture de l’espace intérieur, le soi mental disparaît purement et simplement. Lors de cette disparition, tout processus d’identification s’évapore.

La Samâdhi est la présence d’un silence si vaste que le soi mental ne survit pas à l’émergence de cette présence. Dans la réalité de cette présence, le mental doit être absent. Par voie de conséquence, Samâdhi et soi mental n’existent pas simultanément. Ils ne le peuvent pas. Si le soi mental est, la Samâdhi n’est pas. Si la Samâdhi est, le soi mental n’est pas.

En Inde, il existe une technique spirituelle qui a pour objectif d’aider le méditant à naviguer vers le but final, l’ultime « ici et maintenant », la Samâdhi. On appelle cette technique « neti, neti ». Cela signifie « ni ceci, ni cela ». A chaque fois que le méditant détecte une identité qui émerge en lui, on lui conseille de penser « Je ne suis pas ceci ». L’identité suivante survient et à nouveau, le méditant pense : « Je ne suis pas cela ».

Cette technique fait partie de la pratique du Gyan Yoga, le yoga de l’intellect, puisqu’il a recours à l’intellect pour en fait aller au-delà de l’intellect. Elle guide le méditant vers l’expérience de liberté de toute identification : la Samâdhi.

Lors de la Samâdhi, le chercheur disparaît. Ce qui reste est le flot de l’expérience. Toute séparation entre le sujet et l’objet s’est évanouie. Tous les noms ont disparu et il ne reste que les verbes. Seul demeure le processus d’expérience de l’intensité électrifiante de l’instant même.

L’évènement de la Samâdhi est très choquant. Aucune dose d’imagination, aussi créative soit-elle, ne pourra préparer l’individu à cette expérience.

J’ai vécu la Samâdhi pour la première fois à l’âge de 21 ans, après 3 années d’intense entraînement yoguique. Je me suis assis en méditation et me suis concentré sur un point situé à 5 centimètres au-dessus de ma tête, en visualisant une flamme. Puis j’ai visualisé que j’entrais au cœur de cette flamme. Soudain, depuis le cœur de cette flamme, un espace a commencé à s’ouvrir rapidement et une incroyable immensité s’est déployée, dans laquelle mon être et toute activité mentale ont complètement disparu.

Le choc m’envahit jusqu’à la moelle. La Samâdhi est comme une mort, car la vie et notre perception des choses telles que nous les connaissions, disparaissent. Selon la puissance et la profondeur de l’expérience de Samâdhi, il peut falloir des mois, voire même des années, avant d’intégrer l’évènement. La Samâdhi crée également un contraste dans le sens où, pour la première fois, il y a éveil et dans cet éveil émerge la reconnaissance que la vie avant cette immense ouverture était une vie de profond sommeil. Les écritures yoguiques différencient Sarbij et Nirbij Samâdhi. Le premier terme signifie « avec graine », le second « sans graine ». En réalité, cela signifie que la structure ego-mental revient après l’évènement de Sarbij Samâdhi. Non seulement elle revient, mais en outre, dans la plupart des cas, la structure ego-mental s’approprie l’évènement et le revendique, à moins que l’individu n’ait une conscience capable d’être témoin des dynamiques en mouvement, et qu’elle ne l’en empêche. Existentiellement, la situation est tout à fait comique : le mental revendique le non-mental. Les mots revendiquent le silence. A la seconde même où le mental revendique l’expérience de non-mental, un processus de corruption se met en place.

Alors que la structure ego-mental revient après Sarbij Samâdhi, ce n’est pas le cas après Nirbij Samâdhi. En conséquence, Nirbij Samâdhi correspond à l’expérience de l’Eveil, Sarbij Samâdhi non ; c’est un aperçu de l’Eveil.

Certaines personnes ont vécu des expériences de Sarbij Samâdhi et les prennent pour l’Eveil. Alors, immédiatement, elles s’en vont donner des satsangs à autrui, proclamant qu’elles ont atteint un état élevé. Mais il ne s’agit pas de l’Eveil. Des centaines, voire des milliers d’expériences de Sarbij Samâdhi peuvent survenir avant que ne se produise l’évènement de Samâdhi de non-retour.

Je souhaite souligner que l’expérience de Samâdhi ne crée pas l’infaillibilité. Même les rares êtres qui sont pleinement ancrés en Samâdhi conservent la capacité humaine de commettre des erreurs à différents niveaux. L’apprentissage continue. L’univers évolue sans cesse, nous aussi.

Comment atteindre la Samâdhi ?

Il existe de nombreux types de techniques méditatives : leur efficacité dépendra simplement de la compatibilité entre vous-même et cette technique.

On peut placer son attention sur le Hara, le chakra du cœur, le troisième œil et le sommet de la tête. Il y a la méditation Kriya. Les expériences de Samâdhi qui se produisent lorsqu’on se concentre sur chacune de ces portes varient notablement. Les expériences de Samâdhi qui se produisent à partir du Hara ont une qualité terreuse et ancrée très prononcée. A partir du cœur, la Samâdhi se présente dans une douceur et une extase inexprimables. A partir du troisième œil, l’expérience de Samâdhi est fraîche et lumineuse. A partir du chakra du sommet de la tête, elle peut être immensément choquante.

Il peut être intéressant de noter que des expériences de Samâdhi se produisent dans des sports à forte intensité, dans l’acte sexuel et dans les arts, tels la danse, la musique, la peinture, etc. Toutefois, étant donné que dans ces contextes, l’individu est totalement privé d’entraînement direct, il se peut qu’il connaisse une grande confusion en réponse à l’évènement. Si la Samâdhi se déroule dans le contexte d’une authentique école des mystères, au moins, il aura eu un entraînement conscient pour l’y préparer.

Un être humain faisant l’expérience de la Samâdhi sera transformé à jamais. Cette expérience représente une liberté océanique allant au-delà de tout ce qui pourrait être décrit et c’est la raison pour laquelle cet évènement hantera l’individu et ne pourra que le propulser dans la recherche de situations et de conditions dans lesquelles la Samâdhi pourra se reproduire.

Encore et toujours. Jusqu’à ce qu’un jour, le chercheur disparaisse à jamais et ne revienne plus.

The Mantra Transmission Circle

n this method we create a circle of people who sing the mantras. Then we place people in the center who just sit quietly and receive the mantras. In the center the effect of the mantras is most concentrated and the depth of meditation that can be reached is utterly amazing. We create a very powerful Presence of Meditation that otherwise would be difficult to create.

The Mantra Transmission Circle is the most powerful meditation method that I know. It links up the consciousness of everyone in the circle through Mantra to help the people in the middle to go beyond the limits of their own consciousness. In this process, the persons in middle can experience a tremendous expansion, deepening and purification of consciousness that is vastly beyond the state consciousness of any single person present. No other method does this.

This method represents the very essence of friends helping each other to find liberation.

Judging Others

By judging another person, we lower this person. We artificially and inappropriately elevate our own position. Judging is an act of unconsciousness. It is an expression of emotional toxicity. If we train ourselves to recognize our thoughts that judge others, to recognize every toxic thought inside and not follow it and instead find something positive about the person, which we will, we have made a giant step toward peace on earth and toward peace within.

SI VOUS NE PARLEZ PAS...

Et que vous êtes un agent de la force publique conscient que certains de vos collègues ont commis des crimes, parce que vous respectez le code du silence…
Et que vous êtes un employé ou un PDG de l’industrie pharmaceutique conscient qu’il existe des produits entraînant la maladie, voire la mort chez ses utilisateurs, et que vous avez des preuves de ce que vous avancez…
Et que vous êtes un employé ou un PDG de l’industrie de la communication conscient que les micro-ondes utilisées dans la majorité des technologies de communication entraînent la maladie ou la mort chez des personnes ou des animaux, et que vous avez des preuves de ce que vous avancez…
Et que vous êtes un employé ou un PDG de l’industrie alimentaire conscient que certains produits, ainsi que leur traitement, entraînent la maladie ou la mort chez des consommateurs, et que vous avez des preuves de ce que vous avancez…
Et que vous êtes un employé ou un PDG de l’industrie de traitement des déchets conscient que certaines méthodes entraînent la maladie ou la mort chez des personnes ou des animaux, et que vous avez des preuves de ce que vous avancez…
Et que vous êtes un soldat ou un employé du gouvernement conscient d’opérations nuisant à des innocents, des femmes et des enfants, voire les tuant…
Et que vous êtes un employé ou un PDG de centrales nucléaires conscient d’opérations pouvant échapper à votre contrôle et par conséquent entraîner la maladie et la mort chez des personnes,
Vous commettez un crime contre l’humanité.

The Shadow

Working with and recognizing the shadow, all toxic thoughts and emotions is absolutely essential in the work I do. Not working with, ignoring or pretending the shadow does not exist has the potential to create what I call "enlightened assholes," meaning people that have accumulated a very powerful chi due to lot of meditation but then totally abuse that chi by dominating others with that chi for very personal reasons because they have not done any serious clean- up in their respective, emotional, psychological fields of toxicity.
This work is truly essential. Many so-called spiritual seekers balk at identifying the shadow. It is work that takes place every second. It really is difficult. Many people ignore it or run away from it.

La méditation est la purification

Lorsque le processus de la méditation s’approfondit, il devient simultanément un processus de purification. En réalité, nous ne savons pratiquement rien de la véritable nature de l’univers. Mais la méditation nous révèle tangiblement les vérités cachées et sublimes de la trame véritable et lumineuse de l’univers, de la vie qui nous entoure et de nous-mêmes.
De même, nous ne connaissons que peu de choses des secrets spirituels dissimulés dans notre corps et notre esprit. Car nous sommes des êtres multidimensionnels composés de multiples facettes. Dans chaque cellule de notre corps se trouvent d’innombrables mémoires, à la fois personnelles, car liées à l’âme individuelle, et impersonnelles, car liées à l’âme universelle.
Le processus de la méditation libère ces mémoires et les fait remonter à la surface de la conscience. Il existe des témoignages de personnes qui meurent et voient toute leur vie défiler sous leurs yeux. Il arrive que le processus de la méditation active également ce phénomène, ainsi que beaucoup d’autres. En essence, nous portons les mémoires de notre passé dans les cellules de notre corps et la méditation les purifie. C’est un processus très puissant et long, et si nous méditons profondément, alors toutes ces mémoires remonteront réellement.
De plus, comme elles sont à la base de nos désirs, ces derniers seront également nettoyés. Les êtres sensibles sont des bio-ordinateurs composés de nombreux programmes. Ces derniers sont des particules mémorielles électromagnétiques qui déterminent en grande partie nos choix et la direction que nous prenons dans notre vie. En sanskrit, on désigne cette notion par le terme « samskara », qui peut également vouloir dire « empreinte laissée sur le subconscient par l’expérience ».
Mais la nature de cette empreinte est d’être une impulsion électromagnétique et comme nous l’avons déjà vu, ces impulsions, ou mémoires, sont stockées dans les cellules du corps. La méditation commence à accéder à ces dernières et à les nettoyer. Au cours de ce processus, ces mémoires sont libérées ; on peut d’ailleurs les voir traverser notre conscience. Prendre conscience de ce processus peut être véritablement perturbant, parce qu’il nous fait cheminer à travers l’ensemble de notre existence, c’est-à-dire non pas seulement celle-ci, mais aussi nos vies antérieures. C’est donc un inimaginable voyage à travers le temps et l’espace que nous accomplissons.
Il est important de comprendre que l’on ne peut avoir de désirs sans ces impulsions électromagnétiques, car celles-ci sont stockées en eux. Les désirs peuvent être répartis en deux catégories : d’une part, ceux qui s’appuient sur les conditionnements matérialistes, c’est-à-dire les croyances artificiellement implantées et créées par la matrice de la société, et d’autre part, les désirs substantiels de l’âme qui portent sur la découverte de son existence véritable et de celle de l’univers. J’appellerai cette dernière catégorie les samskaras de l’âme pure ou du dharma, tandis que je désignerai la première sous le nom de samskaras de la matrice (terme que j’utilise en allusion à la trilogie Matrix).
Ce processus de purification touche d’abord les samskaras de la matrice. Cela peut s’avérer troublant, car en essence, ce sont nos illusions qui sont purifiées, ce qui nous permet de prendre directement conscience de la véritable nature de notre être. Ce processus n’est pas forcément agréable, car nous aimons certaines de nos illusions, à l’instar de l’un des personnages de la trilogie Matrix quand il dit : « Bien sûr, je sais que ce steak est une illusion. Mais qu’est-ce qu’il est délicieux ! » En essence, les deux formes de samskara, les samskaras de la matrice et les samskaras du dharma, s’affrontent constamment. C’est une guerre. Celle-ci oppose au sein de l’individu les forces qui veulent s’éveiller et celles qui préfèrent continuer de faire le jeu kaléidoscopique des illusions de la matrice.
Quand la méditation est fructueuse, les atomes mêmes du corps deviennent plus purs et plus rayonnants. Les cellules sont purifiées et progressivement, la présence de la Lumière et de l’Électricité universelles commence à pénétrer les cellules au fur et à mesure que de plus en plus de mémoires s’en vont. J’insiste pour dire que ce processus n’est pas toujours aisé, de même que le processus de la naissance humaine peut être très difficile.
En effet, le méditant connaît alors une seconde naissance, la naissance de son Soi universel véritable. À mesure que la Lumière et l’Électricité cosmiques augmentent dans les cellules, le corps connaît des changements. Si l’expansion est subite, il peut y avoir des chocs soudains qui traversent l’organisme. Ce phénomène est bien connu du monde yogique. On peut alors assister à l’apparition spontanée de mouvements corporels, d’asanas, de changements respiratoires, de rires ou de pleurs, sans aucune raison apparente. Dans le corps entre une énergie puissante qui peut s’avérer incontrôlable. La Lumière exerce une pression sur l’organisme, très tangible.
Les mystiques, les amants de Dieu, connaissent ce processus. (Les cathares aussi. Leur collectivité leur permettait d’établir un contact puissant avec Dieu, qui s’exprimait à travers ce qui ressemblait à des crises d’épilepsie. Mais il ne s’agissait pas de cela. En vérité, c’était d’extraordinaires montées de Kundalini. D’ailleurs, le mot « catharsis » est tiré du nom de ce groupe, les cathares. Au final, ils ont tous été tués par le Vatican en raison de leur croyance hérétique, à savoir qu’ils n’avaient pas besoin de prêtres pour contacter Dieu.) Ce processus peut durer de nombreuses années, en fonction de l’intensité de la sadhana (pratique spirituelle) et de la détermination du sadhaka (pratiquant spirituel).
En Inde, la personne qui avait pris la décision de retourner de tout son être à la Source universelle en consacrant tous ses efforts et toute sa concentration à cet objectif, était appelée sannyasin, titre qui la distinguait d’un laïc, individu qui faisait des efforts nuls ou partiels en vue de l’éveil.
L’éveil est à la fois un processus et un événement. Il est important de comprendre que c’est quelque chose de tout à fait physique et qu’il y a de nombreuses implications et transformations inhabituelles et exotiques absolument inconnues et incomprises du commun des mortels. Dans les étapes finales de l’éveil, toutes les mémoires des cellules du corps se dissolvent. La pure Luminosité rayonnante reprend ses droits. Le Soleil de la Présence universelle brille de sa glorieuse puissance immaculée dans chaque atome de votre corps. Vous êtes rentré chez vous.
10 avril 2013

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